Histoire des ondes artificielles et de l'électrification
L'évolution humaine est intrinsèquement liée aux ondes électromagnétiques naturelles qui ont façonné la biologie humaine pendant des millions d'années. Nos cellules ont évolué pour fonctionner en harmonie avec ces fréquences naturelles permettant la régulation des processus vitaux comme le rythme circadien, la production d'énergie, et la réparation cellulaire.
Aujourd’hui, le premier kilomètre au-dessus de la Terre est désormais rempli de 2 millions de fois la quantité de champs électromagnétiques à laquelle nous étions confrontés en 1900. Avec l'avènement de l’électrification et des technologies modernes, l'exposition constante aux ondes électromagnétiques artificielles – provenant des téléphones portables, du Wi-Fi, et de la lumière bleue la nuit – a créé en très peu de temps un environnement électromagnétique radicalement différent.
Les conséquences de cette exposition aux ondes anthropiques s'accélère au point qu'une partie de plus en plus grande de la population éprouve des réactions indésirables qui ressemblent aux symptômes ressentis par les premiers opérateurs radar dans les années 1940. Des témoignages et les experts nous alertent sur cette électrification du monde et le déploiement des ondes électromagnétiques artificielles, pour autant la grande majorité de la population reste sourde et ignorante à ces avertissements, hypnotisée par la lumière bleue, saturée d'ions positifs.
Ce livre numérique très court, propose un aperçu, il vous donne des éléments à travers les couloirs de l'histoire qui vous permettrons de mieux appréhender l'impact de l'électrification et des ondes artificielles sur le vivant. Ce livre est une invitation à un monde meilleur, un monde où la technologie sera en accord avec les lois naturelles. Utilisez le comme un tremplin vers la l'essence ondulatoire de votre être.
Le vivant est "sous tension", c'est un fait qu'il suffit de vérifier à travers l'état de santé de cette humanité inversement connecté.
« Ceux qui ignorent l'histoire sont destinés à la répéter. » - Edmund Burke (1729–1797)